Historique de l’église.

Le territoire de La Chapelle-Bouëxic faisait autrefois partie de la paroisse de Guignen. Il y avait alors dans cette dernière paroisse une chapelle dont l’histoire, ne parle pas, mais qui devait être bien ancienne, puisqu’elle donna son nom à un manoir signalé dès 1427, comme nous le verrons bientôt. Cette chapelle était dédiée à Sainte-Brigite.

En 1711, le 21 Juin, Mer Vincent des Maretz, évêque de Saint-Malo, érigea en paroisse cette section de Guignen, à la requête de dame Suzanne Grout, veuve de Louis du Bouëxic, seigneur de La Chapelle ; d’Yves Mathurin du Bouëxic, seigneur de Pinieuc, son fils et d’autres habitants de la Chapelle.

Les seigneurs de La Chapelle firent à cette occasion construire avec soin l’église actuelle de La Chapelle-Bouëxic, et la dédièrent à Saint-Joseph. Ils se réservèrent en même temps la présentation du recteur de la nouvelle paroisse et les honneurs et prééminences seigneuriales dans cette église.

Enfin, ils donnèrent au recteur un petit manoir voisin de leur château. appelé « la Piloire », que possédaient avant ce temps-là les familles du Rocher et Grégoire.

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I – Manoirs et Terres nobles.

LA CHAPELLE – Il est fait mention pour la première fois de cette maison noble, située alors en Guignen, en 1427 ; elle appartenait à cette époque à Jean du Tiercent. Les sires du Tiercent, originaires de la paroisse de ce nom, où ils possédaient un château-fort, remplirent de nombreuses charges au Moyen-Age, soit à l’armée, soit à la Cour des ducs de Bretagne.

Jean du Tiercent, seigneur du Tiercent et de La Chapelle, gouverneur de Rennes, eut un fils nommé Guillaume du Tiercent, seigneur dudit lieu, qui épousa Marie de Montauban ; Gilles du Tiercent, seigneur du Tiercent et de la Chapelle, leur fils se maria avec Jeanne de la Lande, dame de Callac et de La Motte-en-Saint-Armel, dont il eut François, seigneur du Tiercent ; il vivait en 1513 et possédait alors le manoir de la Chapelle – Gilles du Tiercent, vivant en 1562, semble avoir été le dernier seigneur de cette maison, richement possessionnée dans nos pays, mais ruinée par les guerres de la Ligue.

Les sires du Tiercent furent remplacés à La Chapelle par la famille du Bouëxic, qui donna à ce manoir le nom qu’il conserve encore. “Gilles du Bouëxic, sieur du Barron dit M. de Courey, vivant en 1560, fut père de Louis du Bouëxic, sieur de la Chapelle, juge criminel de Rennes, anobli en 1595 en considération des services rendus au roi dans la reddition de la ville de Rennes”. – Autre Louis du Bouëxic épousa en 1650 Marie Cybouault, riche héritière et dame de Pinieux, en Limerzel. – Leur fils, Louis du Bouexic, seigneur de la Chapelle et de Pinieuc épousa Suzanne Grout.

Ce dernier seigneur rendit aveu au roi, le 22 fevrier 1680, pour sa seigneurie de la Chapelle. On lit ce qui suit dans cette déclaration : “ La maison seigneuriale de la Chapelle du Bouëxic située en la paroisse de Guignen, diocèse de Saint-Malo, consistant en un grand corps de logis au bout duquel sont orangeries et galeries avec cour dans laquelle sont les écuries, remises de carrosses et messageries, jardin au derrière de la maison, bois de haute futaye, promenoir, étang, canaux et fontaine au milieu du jardin, le tout en un tenant cerné de murailles”.

Remarquons aussi dans ce titre “un journal en vigne… un bois de haute futaie nommé le Bois aux Sangliers… plusieurs autres bois… les étangs de la Pillouse et des Landes de la Chapelle… plusieurs moulins à vent et à eau… et enfin le fief et baillage de la Chapelle s’étendant dans la paroisse de Guignen toutes choses dépendant du manoir.

Notons encore que les maisons nobles de la Hautière et de la Mouraudaye relevaient féodalement de la seigneurie de la Chapelle, qui avait droit de haute basse et moyenne justice, avec fourches patibulaires”.

Les seigneurs de la Chapelle, de la maison du Bouexic de Pinieuc, furent tous conseillers au Parlement de Bretagne ; l’un d’entre eux, Bernard du Bouexic, seigneur de la Chapelle et de Pinieuc, habitait son château de la Chapelle en 1754.Ce château – l’un des plus importants de l’arrondissement, – a passé de nos jours entre les mains des familles Quesnel et de Menou ;

Le territoire actuel de la Chapelle-Bouëxic renfermait autrefois quelques autres terres nobles devenues présentement des villages ou des fermes, c’étaient :

– La Mouraudaye en 1427 à Pierre Le Long, en 1513 et 1540 à Jean Le Long, seigneur de la Mouraudaye, en 1680 à Marin Collobel, seigneur du Bot, en Langon, et en 1667 à Louis du Bouëxic, seigneur de La Chapelle.

– La Hautière en 1513 à Rolland de la Bouère, seigneur de la Hautière et en 1680 à Louis du Bouëxic, seigneur de la Chapelle. –

– Trebeheuc vel Tremeheuc en 1427 à Raoul Bihoalier ; en 1513 à François de la Fonchaye, fils de Pierre Mourauster de sa feue femme, fille de messire Jean de la Fonchaye” ; en 1697 à Louis du Bouëxic, seigneur de la Chapelle –

– Le Peilladou qu’on appelle maintenant le Plat D’orou, en 1427 à Hervé-Prodaut ; en 1513 à autre Hervé Prodaust, seigneur du Peilladou ; en 1695 à Louis du Bouëxic, seigneur de la Chapelle, qui tenait cette terre féodalement de la baronnie de Lohéac.

– La Richardière, en 1427 à Guillaume Graffart ; en 1513 à Jean Graffart, sieur de la Richardière; en 1695 à Louis du Bouëxic, seigneur de La Chapelle, qui la tenait également de la seigneurie de Lohéac. – Enfin la Jouennnaye, en 1513 aux héritiers de feu André de Saint-Malo.

Le château de La Chapelle-Bouëxic.

Le château de La Chapelle-Bouëxic est à proximité immédiate du bourg. Il consistait en 1680 en un grand corps de logis avec jardin autour duquel sont : orangeries et galeries avec cours, écuries, remises de carrosses et messageries, bois de haute futaie, promenoir, étang, canaux, et fontaine au milieu du jardin, le tout d’une superficie de 21 Ha cerné de murailles. Toutes ces dépendances existent encore. En 1427 et 1562 il appartenait aux familles DU TIERCENT et depuis cette époque jusqu’à la fin du XVIIIème siècle aux DU BOUEXIC.

Le château n’appartient pas à la Commune.

Un peu d’histoire  …

Dans la paroisse de Guignen se trouvait, au moyen-âge, un manoir nommé la Chapelle et appartenant aux seigneurs du Tiercent.

Cette famille du Tiercent était noble et ancienne ; elle tirait son nom d’une forteresse dont les ruines apparaissaient encore aux environs de Fougères et elle remplissait d’honorables fonctions à la cour des ducs de Bretagne. Lorsqu’ils n’accompagnaient pas leurs princes les sires du Tiercent habitaient un hôtel à Rennes et préféraient à la campagne le séjour du manoir de la Chapelle à celui du château dont il portait le même nom.

En 1427, Jean du Tiercent, possédait les deux seigneuries de la Chapelle en Guignen et de la Rivière en Goven et exerçait la charge de maître d’hôtel à la cour de Bretagne.

Les sires du Tiercent étaient encore seigneurs de la Chapelle au XVIème siècle mais une lettre qui nous a été conservée par Dom Morice, nous représente en 1562, Gilles du Tiercent comme « un povregentilhomme affligé » dont la plupart des terres étaient aliénées. Ce fut le dernier seigneur de ce nom mentionné dans l’histoire.

Au moment où disparaissaient en Guignen les seigneurs du Tiercent, s’élevait rapidement une nouvelle famille destinée à jouer un rôle considérable dans notre contrée.

« Gilles du Bouëxic, sieur du Barron dit M.de Courey, vivant en 1560, fut père de Louis du Bouëxic, sieur de la Chapelle, juge criminel de Rennes, anobli en 1595 en considération des services rendus au roi dans la reddition de la ville de Rennes ». Autre Louis du Bouëxic épousa en 1560 Marie Cybouault, riche héritière et dame de Pinieuc, en Limerzel – Leur fils Louis du Bouëxic, seigneur de la Chapelle et de Pinieuc épousa Suzanne Grout.

Ce dernier seigneur rendit aveu au roi, le 22 février 1680, pour sa seigneurie de La Chapelle. On lit ce qui suit dans cette déclaration « La maison seigneuriale de la Chapelle du Bouëxic située en la paroisse de Guignen, diocèse de Saint-Malo, consistant en un grand corps-de-logis au bout duquel sont orangeries et galeries avec cour dans laquelle sont les écuries, remises de carosses et mésnageries, jardin au derrière de la maison, bois de haute futaye, promenoir, étang, canaux et fontaine au milieu du jardin, le tout en un tenant cerné de murailles.

Remarquons aussi dans ce titre « un journal en vigne… un bois de haute futaye nommé le Bois aux Sanglers… plusieurs autre bois… les étangs de la Pillouse et des Landes de la Chapelle… plusieurs moulins à vent et à eau… et enfin le fief et le baillage de la Chapelle s’étendant dans la paroisse de Guignen, » toutes choses dépendant du manoir.

Notons encore que les maisons nobles de la Hautière et de la Mouraudaye relevaient féodalement de la seigneurie de la Chapelle qui avait « droit de haute basse et moyenne justice, avec fourches patibulaires ».

Les seigneurs de la Chapelle de la maison du Bouëxic de Pinieuc, furent presque tous conseillers au parlement de Bretagne ; l’un d’entre eux , Bernard du Bouëxic, seigneur de la Chapelle et de Pinieuc, habitait son château de La Chapelle en 1754.

Ce château – l’un des plus importants de l’arrondissement – a passé de nos jours entre les mains des familles Quesnel et de Menou : cette dernière l’habite encore.

Le territoire actuel de la Chapelle-Bouëxic renfermait autrefois quelques autres terres nobles devenues présentement des villages ou des fermes, c’étaient :

La Mouraudaye, en 1427 à Pierre Le Long ; en 1513 et 1540 à Jean Le Long, seigneur de la Mouraudaye, en 1680 à Marin Collobel, seigneur du Bot, en Langon, et en 1667 à Louis du Bouëxic, seigneur de la Chapelle. – La Haultière, en 1513 à Rolland de la Bouère, seigneur de la Haultière et en 1680 à Louis du Bouëxic, seigneur de la Chapelle. –

Trébeheuc en 1427 à Raoul Bihoalier en 1513 à François de la Fouchaye, « fils de Pierre Moraust et de sa feue femme, fille de messire Jean de la Fonchaye ; en 1697 à Louis du Bouëxic, seigneur de la Chapelle . – Le Peilladou, qu’on appelle maintenant le Plat Dorou, en 1427 à Hervé Prodaust ; en 1543 à autre Hervé Prodaust, seigneur de Peilladou, en 1695 à Louis du Bouëxic, seigneur de la Chapelle, qui tenait cette terre féodalement de la baronnie de Lohéac –

La Richardière, en 1427 à Guillaume Graffart ; en 1513 à Jean Graffart, sieur de la richardière, en 1695 à Louis du Bouëxic, seigneur de la chapelle, qui la tenait également de la seigneurie de Lohéac – Enfin la Jouennaye, en 1513 « aux héritiers de feu André de Saint-Malo.

L’abbé Guillotin de Corson.

LA CHAPELLE-BOUËXIC (Trève de Guignen)

Subdélégation de Rennes – Département d’Ille et Vilaine – Arrondissement de Redon – Canton de Maure de Bretagne.

Population : En 1793 – 957 habitants (Arch.d’Ille-et-Vilaine, Serie L).

Fouages – Ils étaient confondus avec ceux de la paroisse de Maure, qui faisait partie de de la sénéchaussée de Ploërmel.

Sur une hauteur, près le grand chemin de Rennes à Malestroit ; à 17 lieues 1/3 au S. de Saint-Malo et à 6 lieues ¼ de Rennes – 900 communiants – Des grains, du cidre, des pâturages excellents sont les richesses de ce territoire, qui serait plus riche, si les habitants daignaient cultiver les landes étendues qu’on y trouve, landes dont le sol excellent les dédommagerait amplement de leur travail, pour peu qu’ils s’y donnassent leurs soins.

Procès Verbal – Assemblée électorale, le 6 avril 1789, au lieu ordinaire des délibérations, sous la présidence de Bouillaud du Fougeray, avocat à la Cour, seul juge de la paroisse de La Chapelle Bouëxic – Comparants : Jan Daniel, trésorier en charge ; Pierre Cormier, trésorier en charge ; Jan Corvoisier, Jacques Ollivier ; Jacques Troufflard ; Pierre Bellamy ; Gilles Berthelon ; Jean Noury ; Joseph Roche ; Joseph Lemoine ; Jan Troufflard ; Jan David, Julien Houite – Députés : Gilles Berthelon, de Troumer, Joseph Lemoine, de la Gommeraie.

Cahier de doléances

Paroisse de La Chapelle Bouëxic

Nous avons reçus les lettres et mendements de notre Roy ou de ses bienfaisant ; nous regardons comme Roy comme notre père sur la terre, nous remercions sa Majesté et ses bienfaisants qu’ils est compation des pauvres paisant qui ont bien de la paine à vivre, les antiens âgés de plus de soixante dix ans déclare que depuis leur connaissance qu’ils n’ont jamais vu le temps plus mauvais, qu’il n’est à présent ; les grains ne vienne plus comme autres fois ; cela fait que les laboureur seront bientos tous pauvres, et à mourir de faim tous roturiers.

Nous tous habitant de la Chapelle-Bouëxic, nous nous prosternons avec humilité devant la majesté de notre roy et de ses biens faisants et de notre seigneur monsieur le comte de Pinieuc, seigneur charitable pour les pauvres et pour ses vasseaux.

Article Premier – Les habitants des paroisses demande dans leur plainte que la noblesse soit imposée au rolle des fouages vingtième et capation, ainsi de la même manière que le Tiers Etat et quil soient sujet à la corvée aussi bien que le Tiers Etat.

Article 2 : Les habitants de La Chapelle-Bouëxic demende aussi que le recteur de La Chapelle les dixme comme porte sa paroisse, attandu que le Recteur de Guignen auroit les ciennes, atandu qu’il n’en faut que trente comme lui pour manger les deux paroisses et qu’il n’ait que la dixme de bled et d’avoine au trente un, ne point dixmer le lin ni le blé noir, atandu que ses assé de dixmer le seigle.

Article 3 : Nous demendons que les domestiques qui vont que foy chez les nobles pour que mois pour estre gardé, qu’il soit sujet à tirer au sort comme les autres, tandy qu’une pauvre veuve qui n’a que deux enfants, il faut qu’il tire et quelle que fois pris, elle est obligée d’avoir un domestique.

Le Pillage du Château

 

Le Château de La Chapelle-Bouëxic fut pillé le 19 janvier 1790 par une bande de 600 personnes environ. Mais qui semblent avoir été étrangères à la localité, comme on le voit par le procès qui fut jugé au présidial de Rennes. Les accusés habitaient pour la plupart Campel ou Maure. (déposition du 3 au 6 mars 1790 arch.d’Ille et Vilaine, serie B, fonds du présidial de Rennes sur le mouvement anti-seigneurial à Maure au mois de fevrier 1790 voy le hérant de la nation n°28 pp 433-435).

Françoise Michel, femme de Joseph Legal, sabotier au bourg de Campel, déclara que le 17 janvier à l’issue des vêspres Raoul Amice de la Bouëxière , Jean Guihard, du bourg et Julien Hedrezel du bourg de Campel firent une liste et nommèrent dans le cimetière tous ceux qui devaient aller enlever les titres et papiers des châteaux de Coëtbo, du Boisdenas, de la Roche-Cotterelle, et de la Chapelle-Bouëxic que le nommé Jean Bébin de la paroisse de Comblessac qui était présent dit que « si les seigneurs de ces châteaux se refusaient à donner la renonciation des rentes féodales, il fallait brûler les papiers et titres et mettre même le feu aux châteaux… ». Au château de La Chapelle-Bouëxic, on brisa des meubles, des portes, des fenêtres, on commit des dégâts de toutes sortes, on prit divers objets et de l’argent, mais le fait capital paraît avoir été l’incendie des papiers seigneuriaux, qui furent ramassés dans le cabinet du procureur fiscal et brûlés entièrement dans la cour. Voy à cet égard toutes les dépositions faites au procès et notamment celles du Sénéchal Bouillaud du Fougeray, du Procureur fiscal Joseph Lemoine et du recteur Michel Ollivier : celui ci affirme que les envahisseurs, qui étaient au nombre de 600 et la plupart ivres « déclarèrent qu’ils étaient venus pour forcer le sieur de Pinieuc à leur donner renonciation de ses rentes et leur livrer ses titres pour être par eux incendiés. »

Les retables de l’église

 

La présentation au temple – La Chapelle-Bouëxic

Dossier de restauration – Anne-Marie Le Bayon – Décembre 1989.

Retable : partie postérieure et décorée d’un autel, qui surmonte verticalement la table.

(copie du tableau de Louis de Boullongne le Jeune – musée du Louvre) voir documents joints.

Description du tableau original

Extrait de l’inventaire du Louvre :

Toile Hauteur : 4.30 m X Longueur 4.54 m

Signé et daté au centre : Lus de Boullongne it.1715.

Description : au centre Siméon en robe verte et manteau jaune, portant l’enfant sur un linge blanc, lève la tête vers le ciel.

A gauche, agenouillée, en robe rose et manteau bleu, un voile blanc sur la tête, la vierge vue du profil et tournée vers la droite.

Derrière elle, debout, Saint Joseph portant la cage avec les colombes à côté de lui sainte Anne en brun.

A droite, un jeune garçon en tunique rouge et manteau vert foncé tient un cierge allumé, un autre en grande robe blanche et ceinture bleu vert allume une lampe à huile.

Décor de temple :

A l’extrème gauche une jeune femme en gris bleu porte une corbeille sur la tête et une jeune femme au corsage bleu et blanc, jupe jaune, manteau rouge, allaitant un enfant et un petit garçon en tunique verte lui tenant la jupe se dirige vers la gauche

Il semblerait que seul Siméon porte un vêtement différent sur la copie « robe verte et manteau jaune » sur l’original robe parme et manteau bleu sur la copie.

Le tableau de la Chapelle-Bouëxic a été exécuté d’après la gravure (donc à partir de 1726).

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Retable nord : Piéta.

Ce retables est une Piéta c’est à dire un tableau représentant la vierge tenant sur ses genoux le corps du Christ détaché de la croix.

Ce tableau a également été restauré en 1989 par Anne-Marie Le Bayon.

 

Retrouvez quelques photos historiques…

 

Le Château :

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